Impardonnable
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.



 
AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
-40%
Le deal à ne pas rater :
Tefal Ingenio Emotion – Batterie de cuisine 10 pièces (induction, ...
59.99 € 99.99 €
Voir le deal

 

rose gâchée, rose damnée ; 100%

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
Auteur Message
Rosalie N. Dawlyn
2ème année à Serpentard
Rosalie N. Dawlyn


Age : Date d'inscription : 08/03/2009 Nombre de messages : 5 Maison/Métier : Année/Âge : Signe particulier/Origine :

rose gâchée, rose damnée ; 100% Vide
MessageSujet: rose gâchée, rose damnée ; 100%   rose gâchée, rose damnée ; 100% EmptyLun 9 Mar - 20:37

    rose gâchée, rose damnée ; 100% I112

    rose gâchée, rose damnée ; 100% I712


      Rosalie Norah Dawlyn
      17 ans, née un 20 mars, le jour du printemps...
      Sorte de psychopate, genre qu'elle serait atteinte du syndrome de Peter Pan

      Prêt pour une nouvelle histoire ?



Hors Jeu
Prénom, pseudo : Beauty*
Âge : 15 ans
Autre ? Baah j'aime le forum. <3


Dernière édition par Rosalie N. Dawlyn le Sam 14 Mar - 21:26, édité 2 fois
Revenir en haut Aller en bas
Rosalie N. Dawlyn
2ème année à Serpentard
Rosalie N. Dawlyn


Age : Date d'inscription : 08/03/2009 Nombre de messages : 5 Maison/Métier : Année/Âge : Signe particulier/Origine :

rose gâchée, rose damnée ; 100% Vide
MessageSujet: Re: rose gâchée, rose damnée ; 100%   rose gâchée, rose damnée ; 100% EmptyLun 9 Mar - 21:27

    La bouteille de verre se fracassa sur le sol, des sanglotements se faisant entendre de l'autre côté de la pièce. Tout ce maudit contexte se déroulait dans un appartement spacieux qu'on pouvait décrire de magnifique, bien décoré, un peu bordélique mais très joli à regarder, un endroit luxueux mais qui ne donnait pas bonne impression rien qu'en y jetant un coup d'oeil. Déjà, des larmes qui coulaient, tout les lourds rideaux d'un bleu marine tirés pour faire en sorte à ce que le voisinage ne voient pas ce qui se passaient là-dedans. Tout était sombre, la pièce était éclairée à l'aide de quelques bougies fixées au plafond. Sylvia Dawlyn pleurait, versait toutes les larmes de son corps, s'en était devenu une triste habitude. Frémissante, elle était recroquevillée sur l'angle du mur, près des rideaux, essayant de se cacher de sa fille. Sylvia était une femme qui avoisinait la bonne trentaine, elle approchait doucement des quarante ans mais paraissait assez jeune. Elle était d'une beauté éblouissante, ses cheveux d'un châtain aux reflets miels, presque excessivement longs, s'arrêtant au bas de son dos par de boucles légères, une chevelure encadrant un visage brièvement bronzé tandis que ses yeux verts ne noyaient de larmes, son mascara coulant également. Approximativement, elle ressemblait à ses filles, dans son insolente beauté arrogante, dans un contexte plus dépressif. Rosalie se leva du fauteuil où elle était installée pour aller à la rencontre de sa mère, sa peau pâle et ses longs cheveux bruns cuivrés virevoletant autour d'elle.

    « Maman... ça sert à rien de pleurer. Crois-moi qu'il ne reviendra pas, mais si peut essayer de sembler heureuse sans. Il est parti. Sèche tes larmes, va prendre l'air dehors, je t'accompagnerais. »

    Rosalie s'agenouilla auprès de sa mère, lui tapotant doucement le dos. Elle était âgée de quatorze ans et demi, et semblait vouloir se motiver juste pendant cette journée-ci à sembler plus sérieuse et moins "marginale" que d'habitude. Les Dawlyn avait toujours été parfaits en leur genre, un peu originaux mais s'incarnaient dans leur perfection. Ils étaient tous beaux, nul ne savait quel dieu leur avait donné cette qualité, et il émanait d'eux une grâce sans pareille, dans n'importe quel type mais ils avaient une grâce incomparable dans leur mouvement, et leurs voix. Et cette famille se ressemblait. Dans leur milieu, on savait qu'ils n'étaient pas que des êtres vivants, on doutait parfois de leur existence d'humains. Vivre en plein coeur des Moldus, dans un appartement de grand standing londonien, quoi de plus classe ? Ensuite, personne n'avait le droit d'entrer là-dedans, sauf sans leur autorisation, et ils ne recevaient pas vraiment de lettres. Sylvia travaillait à Gringotts dans un "je-ne-sais-quel-métier" car elle s'amusait à tout faire, elle respirait la joie de vivre, et n'avait même pas besoin de travailler tellement la fortune de son clan était forte. Son père, Charlie, était un individu extrêmement classe, séduisant, et exerçant le boulot d'Auror. Puis sa soeur... Marilyn, plus âgée que Rosalie. Grande, fortement belle, sympathique, tantôt rebelle tantôt sage.
    Brusquement, le son de la voix de Sylvia retentit. Grave, élégante qui en ferait tomber plus d'eux, qui n'avait d'un coup plus rien à voir avec ses sanglots, et qui contrastait fortement avec la voix mélodieuse, claire et si attirante de Rosalie.

    « Je ne peux pas, Rose. Le seul, c'était le seul et l'unique, l'unique amour que j'avais. Laisse-moi... Et je suis déjà sortie... pour aller au boulot. »
    « Putain, ce que t'es égoïste ! Tu ne regardes plus personne en face, tu te renfermes. Après, à savoir que y a pas que le boulot dans la vie pour revenir comme une défoncée ici ! Tout le monde veut t'aider : moi, Marilyn, Liam. Mais toi tu t'en fiches. »


    La grosse crise de sanglots de sa mère reprit, Sylvia se leva d'un bond sans plus attendre, titubante, pour s'en aller dans sa chambre. Cette fois, Rosalie ne comptait pas la suivre. Rosalie, surnommée Rose, n'avait jamais été doué pour réconforter et faire la morale, parce que c'était à elle qu'on faisait la morale. Sylvia avait perdu son époux, celui qu'elle aimait pour la vie, le restant de ses jours. Elle ne pensait qu'à ça. Cela faisait déjà un an que son père était décédé d'une maladie rare dans le monde de la sorcellerie, pour Rose, le deuil était fait, pareil que pour Marilyn. Il ne restait que sa mère uniquement. Et il était vrai que nombres de personnes essayaient de la soutenir, mais ça ne pouvait pas durer éternellement. Déjà, il y avait sa soeur et son meilleur ami d'enfance, Liam. Tous était auprès de Sylvia Dawlyn, Liam vivait même avec eux. Comme c'était gentil de sa part, et comme sa mère pouvait être incontestablement centrée sur sa propre personne depuis cette phase de dépression ! Généralement, c'était Rosalie l'insouciante, la délurée, mais là, s'en était presque à comparer.

    A vrai dire : sa mère lui faisait de plus en plus pitié.

SECONDE PARTIE, CHAPITRE 1

    « C'est vraiment horrible, ce qui nous arrive. »

    Plaintive, Marilyn contemplait les passants par la haute fenêtre de l'appartement, dans la chambre de Rosalie. La chambre était dans des couleurs chaudes et énergiques, on y voyait du orange, du jaune, du rouge, du blanc. Mais elle n'était pas très éclairée non plus, trois fenêtres mais seulement une aux rideaux ouverts. Non, encore, ils étaient entrouverts. Rose, âgée de seize ans, Marilyn en avait dix-huit, pareil que Liam. Beaucoup de choses avaient changé, dans ce coin. Ses grands-parents maternels payaient désormais le loyer de cet appartement, ils avaient aussi emporter Sylvia avec eux pour s'en occuper et lui faire vaincre cette dépression, laissant Marilyn, Liam et Rosalie se débrouiller en leur laissant une importante somme d'argents... C'était ce qui comptait alors, la richesse ? Voilà le centre d'intérêt de cette nouvelle génération, donc. Alors, Rosalie faisait partie de ces adolescents sans préoccupations précises, sans lois.

    « Les meufs, vous avez vraiment pas de chance... J'aimerais pas être à votre place. »
    « Oh, bah de toute façon, il fallait pas s'y attendre un jour ou l'autre, vous croyez quoi, franchement ? »
    « Laisse tomber, Liam. Et toi, Rose ! T'es qu'une fille négative, tu saoules, que des choses désagréables à dire. »


    Blottie dans les bras protecteurs du grand-frère qu'elle n'avait jamais eu, ou du meilleur ami, vu que parfois elle se surprenait à ne pas savoir ce qu'il était pour lui : l'ami, le frère de coeur, ou... ben, l'ami, Rosalie semblait dans des apparences tranquilles mais des tas de pensées se mélangeaient dans son cerveau. Dans le genre, qu'allait devenir sa mère ? Ou, allaient-ils rester dans cette situation pour longtemps ? Le hic, était qu'elle n'était pas dans le même genre que Marilyn, à se plaindre de temps à autre, ou à exprimer sa peine. Pour elle, montrer ses sentiments étaient une marque de faiblesse, pour combattre ça, elle ne trouvait rien d'autre que le moyen efficace "made in Rose", c'est-à-dire, prononcer tout ce qu'il y aurait de plus déplaisant à dire. Elle avait cette façon brutale aussi de mettre les personnes mal à l'aise en versant d'un coup ce qu'elle pensait, sans prendre en compte qu'elle pouvait blesser, vexer et chagriner. Se détachant sans difficulté des bras de Liam, Rosalie s'était levée, face à sa soeur.

    « Ah ouais ? Parce que tu crois qu'on allait passer nos journées à la contempler en train de se défoncer, à essayer d'arrêter ça alors qu'elle voulait pas ? Ma pauvre fille, tu te trompes, j'ai d'autres choses à faire. »
    « Non, mais comment tu peux oser dire des choses pareilles ? C'est ta mère ! C'est notre mère. Celle qui nous a élevé, et ça, tu ne peux pas en prouver le contraire. »


    Dans un fond, il était sûr que Marilyn disait vrai. Sauf que Rosalie ne voyait pas l'histoire de cette manière. Pour elle, une mère devait être présente jusqu'au bout. Sylvia, pendant longtemps, avait été une mère idéale. Attentive à ses enfants, d'une douceur et d'une grande patience, gentille, un peu sans autorité mais elle avait tout pour accomplir son rôle de "maman", jusqu'à que leur père soit parti. Surtout, elle lui reprochait de ne pas avoir été capable d'endurer ça, parce que Rosalie l'avait fait. Elle avait toujours aimer son père, ce sorcier si courageux, jovial et ayant un sens de l'humour si exquis (un peu comme elle-même, d'ailleurs), certes, il lui manquait horriblement mais s'en n'était pas une raison pour qu'elle se drogue, ou qu'elle tombe telle une désespérée. Elle ne pouvait pas se le permettre. Voir, Rosalie ne s'autorisait pas à être considérée comme fragile, faible, banale, inutile. Petite, elle s'était promise de ne pas mener une vie inintéressante, elle doutait fortement qu'elle est tenue cette promesse. Elle ne faisait qu'enchaîner les bavures, les fêtes, les sorties, faisant semblant de sourire à la vie et repoussant avec une petite violence verbale ou autre ceux qui se mettaient en travers de son chemin.

    « Mais qu'est-ce que je m'en tape, il fallait juste... que... Laisse tomber Marilyn. Tu ne comprends rien à rien, t'es enfermée dans ton cerveau, ou le truc qui te sert de cerveau, en tout cas. »

    Elles se fusillèrent du regard pendant de longues secondes, sans rien dire Le silence, un silence de mort. Liam fixait le mur, sans grande motivation pour arranger la situation. Il ne disait rien pour ne pas envenimer la situation. Si Rosalie et Marilyn s'adoraient, elles étaient sans cesse en conflit tout de même, des conflits sans importances comme excessifs par moment. On pouvait le dire, Rosalie était incontestablement douée pour deviner les pensées de son entourage et même ceux qu'elle ne connaissait pas vraiment bien, tandis que sa soeur était tout le contraire, elle n'était en aucun cas douée pour les devinettes, en fait, Marilyn n'était guère intuitive. Finalement, Rosalie se décida à quitter la chambre, claquant la porte au passage, s'arrêtant inutilement devant. Elle entendit quelques phrases échangées entre sa soeur et son meilleur ami.

    « Impossible de la cerner, elle m'énerve d'une façon. Elle va sûrement devenir une des saloperies du monde, tant qu'on y est. Mon Dieu, Rose devrait réfléchir quand elle parle ! »
    « Arrête, tu dis ça parce que t'es en colère, comme si on le savait pas. Calme-toi. »
    « Cesse de la défendre, Liam ! »
    « J'la défend pas, je dis mon avis. »
    « Rosalie est incontrôlable. »
Revenir en haut Aller en bas
Rosalie N. Dawlyn
2ème année à Serpentard
Rosalie N. Dawlyn


Age : Date d'inscription : 08/03/2009 Nombre de messages : 5 Maison/Métier : Année/Âge : Signe particulier/Origine :

rose gâchée, rose damnée ; 100% Vide
MessageSujet: Re: rose gâchée, rose damnée ; 100%   rose gâchée, rose damnée ; 100% EmptyJeu 12 Mar - 21:05



rose par liam
    « Je devais certainement avoisiner les huit ans quand j'ai rencontré Rosalie, malgré que je connaissais déjà la famille Dawlyn. Mes parents étaient des amis des Dawlyn, pourtant, je n'allais pas souvent chez eux, c'était plutôt sa grande-soeur, et d'ailleurs mon amie aussi, Marilyn, que j'ai connu en premier. Marilyn et moi avions en cette année huit ans, en effet, et elle avait du traîner Rosalie sur ses talons parce que personne ne pouvait les garder chez eux. Rose, elle, avait six ans. La première fois que je l'ai vu, elle m'a directement enthousiasmé ! Elle était si drôle, avec ses manies marrantes sur les bords, sa façon de se conduire et de parler... Puis à partir de ce moment, elle venait sans cesse me voir, quand j'avais mes coups de blues, elle me remontait le moral très facilement, même en ne disant rien de bien consolant. Elle racontait plutôt des choses intéressantes pour que j'oublie mes soucis, généralement, ça fonctionnait. Mais je m'intéressais à son mode de vie, elle n'en parlait pas souvent, malgré que je savais qu'elle était heureuse. Voilà que dans l'année de mes dix ans, ma mère et mon père moururent, me laissant dans ce fichu orphelinat londonien. La vie était monotone, mais je gardais contact avec Rose et Marilyn. Pour voir comment j'allais, elles passaient presque tout les jours, même si je me sentais détrui, elles ont été d'un bon remontant. Surtout Rosalie, je sais, j'avais tendance à délaisser Marilyn mais je l'aimais aussi, c'était juste qu'elle n'était pas aussi captivante que Rosalie. C'est alors qu'un beau jour, Rose s'est ramenée seule pour m'entraîner dans sa spirale infernale qui était précisément son "chez elle". Je découvris donc où elle habitait. Avec son caractère, je ne m'attendais pas à un endroit aussi luxueux, joli et aux cadres parfaits. Elle avait des parents qui l'aimaient de tout leurs coeurs, son père était dans le genre bosseur mais qui avait le temps de passer des moments agréables avec sa famille, tandis que sa mère était la perfection incarnée. De bons instincts maternels, douce, gentille, attentive et très belle, comme ses filles. J'avais remarqué qu'ils étaient tous beaux. Ensuite, je passais de plus en plus de temps chez eux, me délivrant de cet orphelinat miteux qui m'exaspérait. J'adorais sa façon de vivre, elle vivait d'une manière si simple mais son caractère était si compliqué ! En fait, même si je suis son meilleur ami depuis maintenant un peu plus d'une dizaine d'années, il m'arrive de ne pas la cerner. Je suis incapable de la décrire, simplement parce qu'elle est complexe. Mais pour moi, elle n'est pas un ange descendu du ciel, plutôt celle que je chérirais à jamais. »

rose par une personne quelconque
    « Mon Dieu, quand j'ai aperçu Rosalie Dawlyn, j'ai directement eu un coup de froid. D'un côté je crois qu'elle était un peu ivre ce jour-là. N'empêche, nous étudions dans la même année et dans la même maison, mais je ne lui avais jamais adresser la parole, encore. C'est dans une sorte de fête dans la Salle sur Demande que je lui ai parlé. Un premier pas qui n'a pas changer grand chose, en fait. Vu qu'elle m'avait en quelque sorte aboyer un "je ne te connais pas, dehors". La preuve qu'elle était saoule... Bref, vous voyez Rosalie en coup de vent, et vous vous direz forcément qu'elle n'est pas ordinaire. Dans son regard, elle a toujours cette pique de mélancolie et de nostalgie, mais avec comme là-dedans quelque chose qui l'a forçait à y mettre une lueur de malice. Elle sourit très souvent, mais pas de la même manière. On a ce sourire bref, l'autre qui en dit long sur ses pensées, pas la peine de l'interroger pour savoir ce qu'elle pense, c'était comme si elle vous l'envoyait avec son regard et son sourire. Même un sourire peut vous dire si elle ne vous aime pas. Et quand j'entends les conversations qu'elle engage avec les autres, je ne comprend pas comment elle peut avoir cette pointe de mélancolie tout en parlant sur ce ton si détaché. Parfois, j'ai même l'impression qu'elle se fiche de tout, elle ne fait même pas attention à ce qu'on raconte sur elle. Elle n'est pas bête non plus, rien qu'en la regardant attentivement, on s'est qu'elle est dotée d'une ruse imparable. J'aimerais tant en savoir plus sur elle. Parce que personne ne la cerne, je sais juste qu'il faut autant l'approcher que l'éviter dès qu'on le peut. Rosalie Dawlyn fascine. »

rose par... elle-même.
    « Je devine ce qu'on peut penser de moi. Dans le genre que les idées fusent, que je suis autant agréable que désagréable. Mais est-ce que ça peut être de ma faute ? Non, je suis née comme ça et les changements arrivent automatiquement sans qu'on s'en rende compte. C'est ainsi que la vie s'est construite. Ma vie que j'emmerde pertinemment. Les gens, avant de les juger, je les observe. Je vois s'ils méritent ma sympathie, ma confiance ou mon respect. Sauf qu'il me le semble, je n'ai aucune scrupule. J'ai appris à reconnaître les vrais des faux. J'ai appris à ne pas me laisser abattre, et je me suis promise de ne pas devenir une de ces femmes banales, inintéressantes et sans projets. J'ai la sainte horreur de l'ordinaire, de la banalité, c'est ce qui finit par bouffer les personnes qui ne sont pas suffisamment intéressantes ou qui sont trop naïves. Si j'ai de l'ambition ? Sûrement, voir c'est une certitude, d'après ma soeur. Je n'aime pas quand on me contrarie, je n'aime pas quand on me refuse des demandes, mais généralement, j'obtiens ce que je veux avec une facilité déconcertante. Pas la peine de peiner à trouver des idées géniales pour obtenir ce qu'on désire. Ceux qui agissent de cette manière sont en simplicité : stupides et sans ruses. La ruse, ils ne connaîtront pas. Malgré ce qu'on pourrait penser de moi, même si j'admets que je peux être un brin tantôt égoïste et manipuler ceux qui m'exaspèrent, je n'en reste pas moins une amie de confiance, protectrice, gentille et je n'abandonne pas mes proches, tout comme mes intérêts personnels. Oui, je peux aussi être une véritable salope quand on me met en colère. D'ailleurs, si je fais des coups bien bas à mes ennemis, je ne m'énerve pas souvent. Je garde mon calme, péter les plombs, à quoi bon ? Parce que je gagne toujours. Je suis une battante et une rose damnée. Point barre. »
Revenir en haut Aller en bas
Rosalie N. Dawlyn
2ème année à Serpentard
Rosalie N. Dawlyn


Age : Date d'inscription : 08/03/2009 Nombre de messages : 5 Maison/Métier : Année/Âge : Signe particulier/Origine :

rose gâchée, rose damnée ; 100% Vide
MessageSujet: Re: rose gâchée, rose damnée ; 100%   rose gâchée, rose damnée ; 100% EmptyJeu 12 Mar - 21:39

Fiche terminée.

Elle est un peu bâclée mais il me manque un peu de temps ces derniers jours et un manque d'inspiration un peu conséquent, avec ma soeur qui va bientôt mettre les pieds sur le forum... ^^

J'espère donc que la fiche convient, mais j'éditerais si quelque chose ne va pas. =)
Revenir en haut Aller en bas
Grayson Avery
Auror
Grayson Avery


Age : 36 Date d'inscription : 27/02/2009 Nombre de messages : 27 Maison/Métier : Auror en formation Année/Âge : 22 ans Signe particulier/Origine : Un frère jumeau décédé

rose gâchée, rose damnée ; 100% Vide
MessageSujet: Re: rose gâchée, rose damnée ; 100%   rose gâchée, rose damnée ; 100% EmptyVen 13 Mar - 14:34

Bienvenue sur Impardonnable ! : D

Alors, voyons voir... Je vois bien ton personnage à Serpentard ! En 2ème année, si elle a 16 ans !
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé





rose gâchée, rose damnée ; 100% Vide
MessageSujet: Re: rose gâchée, rose damnée ; 100%   rose gâchée, rose damnée ; 100% Empty

Revenir en haut Aller en bas

rose gâchée, rose damnée ; 100%

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum: Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Impardonnable :: Impardonnable - Le commencement :: Le Miroir du Risèd -